Suivi évaluation du PUDC deuxième phase à Louga

Suivi évaluation du PUDC deuxième phase à Louga

L’étude du bilan des Investissements prioritaires à Louga a fait l’objet d’une conférence territoriale ce mercredi du Conseil départemental de Louga sous la présence du Gouverneur de la région et des maires des Communes.

À L’heure du bilan, les élus se prononcent. Les performances indiquées dans le rapport n’ont pas retenus ces derniers élus d’exprimer encore des besoins non satisfaits jugés prioritaires.

L’accès à l’eau potable demeure toujours un problème résolu dans certaines localités. Le Directeur de l’ARD  de Louga est revenu ans son discours sur la question des disparités par rapport à l’accès à l’eau potable. Dans beaucoup de zone, « la qualité de l’eau » n’est pas des meilleurs, avoue-t-il. Ainsi va-t-il jusqu’à proposer une « plateforme pour a gestion de l’eau ».

Cheikh Gueye mentionne toujours « un besoin exprimé dans le secteur de l’agriculture, de l’élevage et dans la transformation des produits ».

Le cas Kébémer invite la problématique de l’équité territoriale au débat. Le Gouverneur reconnait les difficultés mentionnées. « Ledit  département est un peu à la traine, comparé aux deux autres départements », constate-t-il.

« Les maires sont largement revenus sur la problématique du désenclavement », constate- Cheikh Gueye. La même source maintient que « certains axes comme Louga Mbédiène, Sagata et même jusqu’à Mbacké Kadior sont à réaliser pour rendre accessible aux localités concernées ». Sur la même lancée, le Gouverneur assure que, « l’Etat décide ainsi d’inverser la tendance en boostant les réalisations pour l’accès à l’eau potable dans cette zone qui sera accompagnée d’une  l’électrification rurale »

Ce n’est pas tout : « les maires ont exprimé un besoin d’accompagnement dans l’élaboration de projets, dans la recherche de partenaire et dans la mise en place de documents stratégiques, de document de planification », renseigne le Directeur de l’ARD. Cheikh Gueye estime qu’il faut « nécessairement un dispositif pour le renforcement de capacité des nouveaux élus, des nouvelles équipes municipales ».

Pour rappel, la deuxième phase du PUDC « lancée à Kébémer n’est toujours pas entré dans sa phase active, en raison de l’impact de la COVID 19 », mentionne le Gouverneur. Ce premier retard est doublée d’un autre qui serait « lié aux élections », indique la même source : « les maires sont les principaux concernés, et les voilà qu’ils étaient tous pris par la préparation des élections », indique-t-il.

Ndiambourinfo

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