« Le site ne peut être un lieu d’habitats », réclame André Koné, vice-président du GIE PROMALO. La thèse sur le supposé morcellement du « poumon vert » de la Commune de Louga « en terrains d’habitats en faveur de conseillers municipaux » fait toujours actualité. Le GIE Promalo réclame toujours l’argent de son indemnisation pour le périmètre (1 hectare) de terre désormais pris par la Maire de Louga. Pour rappel cette partie morcelée va abriter le marché de légumes en prévision.